Au Salon de l’Agriculture, le Département mobilisé pour « cultiver l’excellence ornaise »

« Quand l’Orne monte à Paris pour le Salon International de l’Agriculture, c’est toute une histoire. Et, à chaque fois, une très belle histoire. L’édition 2024 est encore dans toutes les mémoires, avec l’égérie du rendez-vous, la devenue célèbre Oreillette, vedette du pays briouzain, parée des plus beaux atours de la race Normande et de l’élevage bovin ornais », assure le président du Conseil départemental, Christophe de Balorre. 

« Le cru 2025 marque une nouvelle étape, avec toujours une forte présence aux différents concours. Au moment où la profession continue de faire face à des difficultés persistantes, la Ferme Orne diversifie sa participation et colore son image ; quelle audace ! »

Du 22 février au 2 mars, la « Ferme Orne » s’installe donc Porte de Versailles, à Paris. Et elle entend y valoriser chacun des pans de la filière agricole du département. « L’enjeu est de taille. Éleveurs et producteurs ne le perdent pas de vue. Leur belle mobilisation en témoigne, alors que les projecteurs du monde entier seront braqués vers eux, leurs incomparables productions et leurs indéniables savoir-faire », note Christophe de Balorre. Il ajoute : « Au moment où la capitale française honorera un pan essentiel de notre économie, le Conseil départemental de l’Orne est, plus que jamais, heureux et fier de l’encourager. Au cœur du Pavillon régional, l’Orne accueillera de dignes ambassadeurs du département. Aux fidèles, quelques nouveaux venus emboîtent le pas, avec leurs emblématiques spécialités, précieuses richesses de nos caves et labos à la ferme, aux prestigieuses marques d’un artisanat inimitable. »

Chacun se prépare activement à s’associer à ce rendez-vous annuel incontournable. « Le Conseil départemental y animera son propre stand, aux couleurs et aux saveurs de l’Orne ! », confie le président. De nombreuses animations, démonstrations et rendez-vous festifs sont au programme. Avec des invités soucieux de faire découvrir les diversités agricoles, agroalimentaires, culinaires et touristiques de leur terroir.

« Dans un climat pourtant si particulier, éleveurs et producteurs ornais y vont pour relever, une nouvelle fois, le défi de l’excellence, et ils savent faire ! », témoigne Christophe de Balorre. Et d’assurer : « L’Orne se veut fidèle au Salon. Pour le Département, c’est l’occasion de réaffirmer notre soutien à la filière : avec passion, elle assume la plus belle et la plus noble des missions : nous nourrir ! »

Berceau de l’élevage, l’Orne met toutes les chances de son côté pour accéder aux premières marches des podiums. Et les nombreux prix décrochés chaque année récompensent un incontestable professionnalisme, que le Salon a justement mission de mettre en lumière.

Parallèlement aux concours, les acteurs de l’élevage normand, devenu une référence à travers le monde, feront la part belle aux échanges avec les visiteurs, au sein d’un espace précisément dédié. La profession est plus que jamais motivée : « Les pratiques agricoles évoluent sans cesse, à la recherche d’une valeur ajoutée accrue, de meilleures conditions de travail et d’un impact moindre de l’activité sur l’environnement. Une prise en compte des attentes de la société est indispensable, de même qu’un vrai dialogue avec le public, pour aborder notamment les vrais enjeux de l’élevage, souvent méconnus, parfois éludés. »

• La Brasserie des Pionniers, de Saint-Langis-les-Mortagne (bières) ;

• Les Cochons sont dans le pré (Lepoivre), de Saint-Ouen-de-Sècherouvre (charcuterie à la ferme « cochons de Bayeux » : saucissons secs, rillettes, terrines) ;

• La Trotteuse, de Saint-Brice-sous-Rânes (bières) ;

• Pur Perche (Plecis), de Rémalard-en-Perche (yaourts, crème dessert, fromage, crème fraiche, beurre) ;

• Cidrerie Lacour-Veyranne, de Belforêt-en-Perche (produits cidricoles, dont AOP Perche) ;

• La Ferme du Chailloué (Chevallier), de Saint-Mard-de-Réno (farines, huile de colza et produits à base de chanvre et deCBD) ;

• Le Petit Chocolatier (Viel), d’Alençon (produits chocolatés : bombons de chocolat, tablettes) ;

• La Percherie (EARL Leveau), de Ceton (poulets, pintades, poules, découpes et terrines) ;

• Bagnoles de Pom (EARL Dubreuil), de Bagnoles-de-l’Orne-Normandie (cidre, poiré, vinaigre de cidre, pommeau, calvados, jus de pomme, gelée de pomme) ;

• La Ferme du Coudray, de La Lande-sur-Eure (glaces et sorbets) ;

• La Brasserie La Vertueuse (Haye), de La Chapelle-Montligeon (bières artisanales bio) ;

• Amare Flora, de Juvigny-Val-d’Andaines (infusions et aromates) ;

• La Brasserie du Perche (Lévesque), de L’Hôme-Chamondot (bières artisanales) ;

• L’Abeille de Ri, de Ri (miels) ;

• Cannevyire, de Montmerrei (produits à base de chanvre et de CBD) ;

• Dam’Mae (GAEC), de Boitron (épicerie à base de bœuf Angus bio) ;

• La Renommée (Habert), de Mortagne-au-Perche (charcuterie : boudin noir mortagnais) ;

• ALLAIN (GAEC), de Champ-Haut (volailles et terrines) ;

• La Ferme Ô Veaux, de Boitron (farines et huiles de colza et de tournesol) ;

• In Paté Croûte We Crust (Aubry), de Saint-Maurice-les-Charencey (pâté en croûte du Perche) ;

• Les Vergers du Chouquet (Aguinet), de Camembert (cidre, poiré, pommeau, calvados, jus de pomme, vinaigre de cidre, confits cidre et poiré ;

• La Ferme Source de Vie (Stoica), de Saint-Pierre-des-Loges (miels aux divers parfums) ;

• Les Chips du Perche (Cotreuil), d’Éperrais/Belforêt-en-Perche (chips originales du Perche).